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Franchise restaurant : Les 5 étapes pour se lancer

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Nathalie BALLAND
Nathalie BALLAND
Mis à jour le
28/6/2024
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Franchise restaurant : Les 5 étapes pour se lancer
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Chaque année, les enseignes de restaurants en franchise se multiplient : en 2021, pour la restauration à thème et la restauration rapide, on recensait 8495 points de vente, soit une hausse de 12 % par rapport à 2020. Toutes sont confrontées au défi de la transformation digitale, un changement drastique dans un secteur au mode de fonctionnement assez traditionnel : gestion d'équipe, suivi des ratios, fidélisation de la clientèle...

Vous avez le projet de monter votre restaurant en franchise ? Vous souhaitez connaître le montant de l’apport personnel nécessaire au projet et les différentes démarches à réaliser ? Combo revient sur les 5 étapes à suivre pour ouvrir une franchise en restauration.

Qu’est-ce qu'une franchise en restauration ?

Un franchisé est une entreprise indépendante qui a signé un contrat de collaboration avec une enseigne mettant sa marque et ses concepts à la disposition d’autres entreprises – dans le secteur de la restauration, le franchiseur peut être spécialisé dans le burger, par exemple, le bar à salades, la restauration fast food ou encore les pizzas. Le franchisé s’appuie donc sur la notoriété d’une marque qui a déjà fait ses preuves et qui offre une certaine sécurité. Le franchiseur cède des droits d’exploitation au franchisé, qui commercialise ses produits et services.

Dans la restauration, les types de franchise de restaurant sont diversifiés, et s’appuient sur des concepts souvent innovants mis en place aussi bien au cœur des villes que dans des zones d’activités. Aujourd’hui c’est un secteur dynamique et porteur, notamment grâce aux nouveaux modes de livraison et de gestion, et au fait que les gens mangent moins souvent à la maison.

Les différentes franchises en restauration

En France, plusieurs solutions s’offrent à vous quand vous souhaitez ouvrir une franchise. Votre choix doit bien sûr dépendre de plusieurs critères : trésorerie, apport personnel, nature et coûts de l’investissement, redevances demandées par le franchiseur, objectif…

La franchise en restauration traditionnelle / brasserie

Ce sont des établissements servant une cuisine française de qualité, de terroir, ou des plats typiques brasserie, à l’image de restaurants franchisés comme Au Bureau, Courtepaille ou Café Leffe.

La franchise en restauration à thème

Il s’agit de restaurants proposant un concept de cuisine très marqué : italienne (pizza), tex-mex, nord-américaine (burger), espagnole, japonaise (sushi), marocaine, à base de grillades… Indiana Café, Ninkasi ou Côté Sushi font partie des enseignes de restauration à thème.

La franchise en restauration rapide / sandwicherie

C’est le secteur phare de la franchise en restauration : le fast food est en pleine croissance en France. Les concepts, avec ou sans livraison, y sont nombreux : crêperie, glacier, boulangerie (quiche, pizza…), pâtisserie, coffee shop avec café de spécialité, bar à salade, bar à soupes, food truck, tex-mex, burgers, kebabs, bagels, gaufres, cuisine bio ou healthy, fast food, sushis… Ce sont des franchises du type Columbus Café, Bagelstein, O’Tacos… Il s’agit le plus souvent de street food, qui offre une pause rapide et / ou gourmande. On ne parle pas ici d’un café ou d’un restaurant avec service maître d’hôtel, mais bien de fast food.

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Les chiffres du marché de la franchise de restauration en France

La franchise est un modèle économique particulièrement attractif et dynamique en France. Comptant plus de 2000 réseaux de franchise et environ 92 000 points de vente franchisés générant un chiffre d’affaires de 88 milliards d’euros, l’Hexagone est le leader européen du secteur. Plus spécifiquement, le domaine de la restauration rapide figure parmi les secteurs les plus performants en termes de chiffres d’affaires. Seul segment du marché ayant prospéré durant la crise sanitaire, il présente une croissance de C.A de 10,5 % entre 2019 et 2022.  

Prix de la franchise en restauration : qu’est-ce que l’apport personnel ?

Pour devenir franchisé, il est indispensable de disposer d’un apport personnel. N’y voyez rien de compliqué, il s’agit simplement de la part de financement que vous devez posséder en propre (sans devoir emprunter auprès d’un organisme de crédit). 

L’apport est constitué de vos liquidités personnelles, mais aussi de votre épargne mobilisée (PEL, livret…). Il est par ailleurs possible de compléter son apport avec de la « love money » (argent des proches) et des subventions. 

La valeur de l’apport personnel va dépendre du coût d’investissement lié au projet. On considère généralement que cet apport doit représenter entre 30 et 40 % de l’investissement total – en dessous de 30 %, les banques refusent le financement. 

Droits d’entrée et redevances/royalties avec une franchise de restaurant

Tout comme le franchiseur, le franchisé est soumis à plusieurs obligations envers l’enseigne. Parmi ces obligations, on retrouve notamment : 

  • Le droit d’entrée, soit la somme réclamée aux nouveaux franchisés pour pouvoir bénéficier des avantages liés à l’exploitation de la franchise. Le montant du droit d’entrée doit généralement être réglé lors de la signature du contrat, puis au moment de son renouvellement.  

Les redevances périodiques, aussi appelées royalties, désignant les montants dont le franchisé doit s’acquitter régulièrement (de manière mensuelle généralement) durant toute la durée du contrat.

Comment choisir sa franchise en restauration ?

Au cours de votre projet, le choix du franchiseur ne doit pas se faire à la légère. Pour garantir votre réussite et ouvrir une franchise rentable, vous devez prendre en compte plusieurs facteurs – financiers, bien sûr, mais aussi géographiques et juridiques.

Optez pour le concept de restaurant le plus judicieux

Le panel d’enseignes de restaurants proposées sous franchise est varié. Étudiez les différentes offres et implantations disponibles, et définissez l’enseigne la plus adaptée à la zone de chalandise visée, en fonction de votre propre sensibilité et de votre apport personnel total/capacité de financement. Il est également indispensable d’analyser rigoureusement l’activité des concurrents implantés dans le secteur, et de se renseigner sur les conditions proposées par l’enseigne. Étudiez notamment les obligations du franchiseur, le coût des redevances à payer, les garanties qu’il vous propose et le taux de réussite pour les entrepreneurs ayant choisi l’enseigne.

Réalisez un business plan de votre projet

Pour ouvrir une franchise de restaurant, il est impératif de réaliser un business plan ; ce document va servir de référence pour la construction et l’évolution de votre projet. Grâce au business plan, vous allez pouvoir définir précisément vos objectifs, les moyens pour les atteindre et tous les points auxquels vous devrez vous consacrer pour faire tourner votre restaurant dans les meilleures conditions. Par ailleurs, l’un des objectifs du business plan est de réussir à convaincre les investisseurs de vous avancer les sommes nécessaires pour prendre en charge les différents coûts financiers.

Effectuez une étude de marché dans la restauration

Il faut d’abord faire une étude de marché sérieuse, et surtout bien connaître sa zone de chalandise, soit la zone géographique entourant un point de vente dans lequel se trouvent les clients potentiels. Cette démarche est essentielle pour faire son choix parmi les implantations possibles. Le potentiel de la zone de chalandise dépend de plusieurs facteurs :

  • Le nombre d’habitants ;
  • Le secteur d’activités ;
  • Le nombre de restaurants concurrents et leurs implantations ; 
  • Les éléments d’attractivité (proximité avec un centre-ville ou un hôtel, un parking, taille de l’agglomération…) déjà en place .

Cette étude du secteur de la restauration est capitale. Il ne faut surtout pas hésiter à se faire assister par un expert au moment de l’effectuer !

Évaluez les investissements à réaliser

Renseignez-vous auprès de différents réseaux, et tournez-vous aussi vers le franchiseur, qui a déjà une idée du budget nécessaire à la création d’un point de vente sur des implantations données. Il pourra vous informer sur de nombreux postes à budgétiser, et notamment :

  • Le droit d’entrée à lui verser ;
  • Le coût du local (bail, dépôt de garantie…) ;
  • Le coût total de l’agencement du local (mobilier, équipement informatique) ;
  • Le montant du stock, qu’il faut évaluer le plus précisément possible ;
  • Le Besoin en Fond de Roulement (BFR), soit l’ensemble des besoins financiers indispensables pour démarrer une activité de restaurant. Il n’est pas possible d’évaluer ce BFR de manière précise au début, mais on peut estimer cet indicateur clé en projetant le chiffre d’affaires hypothétique calculé dans le compte de résultat prévisionnel.

Estimez le compte de résultat prévisionnel à 3 ans

  • Les recettes ;
  • Les dépenses ;
  • Les bénéfices.

Fiez-vous à l’expérience d’autres franchisés en restauration pour déterminer les volumes vendables en fonction de votre zone de chalandise, et avoir une idée aussi précise que possible du chiffre d’affaires. Vous trouverez un modèle de compte de résultat prévisionnel, une donnée clé de votre business plan.

Estimez la trésorerie nécessaire

La trésorerie, c’est l’argent disponible en banque. Faites un plan de trésorerie listant vos encaissements (rentrées d’argent) et vos décaissements (sorties d’argent) afin d’estimer le solde en euros à la fin de chaque mois. L’idée, c’est évidemment qu’il soit positif tous les mois. Et si ce n’est pas le cas, c’est que le budget prévu n’est pas suffisant.

Les encaissements, ce sont les ventes réalisées, plus un éventuel apport personnel et divers financements. 

Les décaissements, ce sont les charges : le coût du local (bail, caution, travaux éventuels), les charges fixes (loyer, téléphone, électricité…) et variables (achats de marchandises), les frais généraux (entretien, assurance…), les frais de personnel, les remboursements éventuels, les impôts et taxes…

Ce modèle vous permettra d’y voir plus clair.

Evaluez le plan de financement à 3 ans

Vous connaissez vos besoins en financement, la rentabilité de votre projet de restaurant, le solde de trésorerie nécessaire, estimez maintenant votre viabilité à horizon de 3 ans, en gardant à l’esprit que vous devrez peut-être faire d’autres investissements d’ici là. 

Aidez-vous de ce modèle afin de n’oublier aucun poste. 

Etudiez votre capacité de financement

Un franchisé doit nécessairement avoir un apport financier, qui peut être des fonds personnels, de la love money - des euros prêtés par un proche, mais aussi une aide allouée aux créateurs d’entreprise. Il peut s’agir d’un prêt d’honneur, d’une subvention (par le conseil régional) mais aussi d’un maintien des allocations chômage (ARE ou ARCE). Retrouvez toutes les aides possibles sur le portail les-aides.fr selon les implantations géographiques du restaurant franchisé.

Cet apport, qui conditionne le financement bancaire nécessaire pour mener à bien le projet d’entreprise, montre également l’implication du futur franchisé. Il se situe généralement entre 30 et 40 % de l’investissement total.

On résume : apport personnel + financement bancaire = investissement total

Quand on monte un dossier de franchise en restauration, le mieux est de rédiger une fiche récap et de reprendre toutes les données : on regarde le coût du fonds de commerce en effectuant une étude de marché de qualité avec les implantations possibles, le coût de la franchise, le coût de la formation, et on évalue le budget total du projet. Est-il finançable ? Comment savoir s’il s’agit d’une franchise rentable ? Si non, sur quoi vais-je pouvoir faire des économies ? 

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Les documents essentiels pour ouvrir un restaurant franchisé 

Pour monter votre projet dans le secteur de la restauration, il vous faut élaborer une documentation spécifique : le DIP et le contrat de franchise. L’enseigne doit, quant à elle, vous fournir un manuel opératoire.

a. Le Document d’Information Précontractuel (DIP)

Devenir franchisé, c’est un engagement. Le potentiel franchisé doit donc rassembler toutes les informations nécessaires sur le réseau de restauration qu’il est sur le point de rejoindre, et ce, pour s’assurer d’être aligné.

La loi Doubin du 31 décembre 1989 oblige le franchiseur à transmettre le DIP au moins 20 jours avant la signature d’un contrat de franchise avec engagement d’exclusivité. L’objectif ? Transmettre un maximum d’informations à l’entrepreneur afin qu’il puisse ficeler son projet en toute sérénité.

Le Document d’Information Précontractuel contient différentes rubriques :

  • L’identité du ou des dirigeants de la franchise, et aussi, la dénomination commerciale de l’entreprise, sa forme juridique, la nature de son activité et l’adresse de son siège social ;
  • La marque du restaurant concédée, et le nom de son propriétaire ;
  • Les comptes de résultat des 2 derniers exercices ;
  • La présentation du réseau, avec les coordonnées et implantations des franchisés, et la liste de ceux qui ont quitté le réseau ;
  • Les termes essentiels du contrat de franchise, à savoir, sa durée, les conditions de renouvellement, de résiliation et de cession du contrat, les investissements nécessaires, les exclusivités qu’il implique.
  • La présentation du marché de la restauration, dont un descriptif de l’état local du marché dans lequel le franchisé exploitera la franchise, ainsi qu’un état du marché national à mettre à jour régulièrement. Pour analyser un DIP, là encore, il faut se faire assister par un expert-comptable ou un avocat. Il peut être également nécessaire de procéder à un examen complémentaire du marché, bref il est essentiel de se renseigner également de son côté.

Bon à savoir : la non remise d’un DIP expose le franchiseur à une amende 1500 €. 

b. Le contrat de franchise

Le contrat de franchise engage l’entrepreneur à respecter certaines obligations à l’égard du franchiseur, et vice versa.

Parmi les points à faire figurer impérativement dans un contrat de franchise :

  • Les clauses du contrat : l’exclusivité, la non-concurrence – l’impossibilité de quitter le réseau de restaurants pour monter sa propre pizzeria ou son propre fast food, par exemple, en s’inspirant de techniques apprises via le franchiseur, et l’approvisionnement ;
  • La durée du contrat ;
  • Les conditions de reconduction ;
  • Les conditions de résiliation ;
  • Les conditions de sortie ;
  • Les obligations respectives des deux parties : pour le franchisé, le respect du savoir-faire de l’enseigne, et de la confidentialité, ainsi que l’acquittement d’un droit d’entrée et la redevance d’exploitation à verser au franchiseur. Pour le franchiseur, l’accompagnement du franchisé (mise à disposition de la marque et de ses signes distinctifs, assistance, formation,...) et la transmission du savoir-faire via le manuel opératoire ;
Kesako le manuel opératoire ou manop ?

Le manop est la bible du franchisé remis lors de la signature du contrat ; elle l’aide à appliquer le concept de l’enseigne de restauration le plus fidèlement possible. Cette documentation répertorie les bonnes méthodes à appliquer, les pièges à éviter, et transmet des outils et un savoir-faire au franchisé. Bref, c’est un mode d’emploi qui lui offre une formation pratique nécessaire à l’ouverture et au fonctionnement de son restaurant.

Le manuel opératoire de l’enseigne de restauration peut mentionner les informations suivantes :

  • La transmission du savoir-faire, comme vu précédemment, et donc la formation par l’enseigne ;
  • Un descriptif du marché concerné, et de la concurrence selon les implantations possibles ;
  • Un descriptif du concept de la franchise et en quoi il se distingue des concepts concurrents ;
  • Une liste des tâches à mener par le franchisé ;
  • Les aides dont il peut bénéficier, qu’elles soient financières ou portent sur la formation ;
  • Les règles de marketing de l’enseigne à suivre ;
  • Des conseils de recrutement du personnel et les techniques de management à appliquer ;
  • Des données comptables.

Pour conclure… quels sont les avantages (et inconvénients !) à être franchisé ?

Vous êtes prêt à ouvrir votre franchise ? Voici les bénéfices et les difficultés à prendre en compte avant de vous lancer.

Les avantages d’une franchise restaurant

#1 - Le franchisé s’appuie sur une marque reconnue 

Il reçoit l’aide de tout un réseau de restaurants. Il peut s’adresser aux autres franchisés de l’enseigne et profite d’une logistique éprouvée, notamment en ce qui concerne les approvisionnements.

#2 - Il prend donc des risques limités

Comptabilité, management des salariés, assistance commerciale… en profitant de l’expérience du franchiseur et de sa connaissance de son métier et du secteur de la restauration, il s’évite déjà bien des questionnements au moment de monter son affaire.

Les inconvénients d’une franchise restaurant

#1 - Il faut avoir un apport solide pour se lancer

Un apport personnel est indispensable, on ne peut pas obtenir 100 % d’un financement via les banques pour monter un restaurant.

#2 - Et il faut continuer à mettre la main au portefeuille

La redevance d’exploitation, calculée sur le chiffre d’affaires, est à verser pendant toute la durée du contrat pour payer les royalties.

#3 - On ne fait pas ce qu’on veut dans sa maison

On respecte le cahier des charges imposé par son enseigne franchisée, notamment pour l’installation du local et son mobilier, pour le marketing : certaines personnes peuvent ne pas supporter cette contrainte.

#4 - Si l’on souhaite céder sa franchise de pizzeria ou de street food

Par exemple, on ne peut pas vendre à n’importe qui, les termes du contrat doivent être strictement respectés.

Ouvrir un restaurant en franchise, c’est avant tout vivre une aventure humaine qui doit se dérouler dans un climat de transparence. La volonté de collaborer doit être réelle, et la confiance mutuelle. La relation franchiseur / franchisé permet en quelque sorte de partager les investissements réalisés et la valeur créée. C’est gagnant-gagnant, à condition de jouer le jeu.

Bonus : la liste des meilleures franchises en restauration

Comme mentionné précédemment, le choix du franchiseur va être déterminant pour la réussite de votre projet. Pour mettre toutes les chances de leur côté, certains entrepreneurs privilégient les franchises qui rencontrent un grand succès en France. Mais attention toutefois : il ne doit pas s’agir du seul facteur à prendre en compte au moment de lancer votre projet. 

En 2024, parmi les franchises les plus populaires en France, on retrouve Basilic & Co, Au bureau, Berliner Das Original, Colombus Café, Indiana Café, Ninkasi et Planet Sushi. De nombreuses autres enseignes permettent aux franchisés de réaliser debons résultats financiers.  

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